Faire mémoire avec gratitude du passé récent.
Pendant cette année, nous voulons reconnaître et confesser notre faiblesse, mais nous voulons aussi "crier" au monde avec force et avec joie la sainteté et la vitalité présentes dans la vie consacrée. C’est le premier objectif .
Embrasser l’avenir avec espérance.
Certes la crise qui traverse la société et l’Eglise touche pleinement la vie consacrée ... C’est une occasion favorable pour la croissance en profondeur et par conséquent, d’espérance, motivée par la certitude que la vie consacrée ne pourra pas disparaître de l’Eglise. Face à de nombreux "prophètes de malheur", nous voulons demeurer des hommes et des femmes d’espérance ; une espérance qui ne se fonde pas sur "nos chars" et nos "cavaliers", c’est-à-dire sur nos propres forces, notre nombre, mais sur celui en qui nous avons placé notre espérance. C’est le deuxième objectif.
Vivre le présent avec passion.
Qui dit passion dit être amoureux, amitié vraie, communion profonde... C’est de tout cela dont il s’agit lorsque nous parlons de vie consacrée et c’est cela qui fait la beauté de la vie des consacrés.
Poussés par le Pape François, les consacrés veulent cette année "réveiller le monde", par leur témoignage prophétique, en particulier par leur présence dans les périphéries existentielles de la pauvreté et de la pensée, comme l’a demandé le pape François aux supérieurs généraux.
C’est le troisième objectif.
Tout au long de cette année, vivons en communion avec l’Eglise. Soyons attentifs à ce qui se passe dans nos églises diocésaines et à l’échelle de l’Eglise universelle.